Un zapping live, où s’enchaînent des histoires plutôt courtes, mais dont les durées varient. On peut faire le lien entre les différents sujets ou non, c’est selon….

Chaque chronique est interrompue par un « CUT » sonore (Sound-design) et par un

noir lumière. Les noirs sont « habités » par le son (Sound-design ou musique) ou par

le silence, cela dépend de l’histoire qui précède ou de celle qui suit.

Une performance pour huit comédiens: quatre femmes et quatre hommes aux

physiques et âges variés.

Pas de scénographie. Plutôt une structure (posée sur des roulettes) mesurant environ

2m de haut sur 3m de large et 30 cm d’épaisseur. D’un côté un cyclo, de l’autre une

cloison de velours noir. A l’intérieur, des lumières LED autonomes. Cet objet permet

de cloisonner l’espace, de créer des entrées/sorties ou de masquer soudainement

des personnages ou des objets déjà présents sur scène.

Cette structure est completée par huit cubes noirs, de 50 cm, à juxtaposer, aligner, ou

à superposer, pour symboliser des éléments de décor. Des accessoires et éléments

de costumes, sur une même tenue sombre et neutre pour tous.

La lumière délimite également les espaces. L’habillage sonore évoque les divers

lieux et ambiances.

L’écriture sur papier est une source dramaturgique première, destinée à s’enrichir

d’avantage au plateau, au fil des improvisations et des trouvailles des interprètes.